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23 août 2017 3 23 /08 /août /2017 17:44
Merci Xavier !

Xavier est le trésorier d’ALO. ALO est l’Amicale des Lotussiens de l’Ouest. Il s’agit de la structure administrative mise en place par les « frèros » pour cadrer leurs sorties sur un plan juridique et financier.

C’est à l’occasion de la dernière sortie de l’amicale que Xavier a proposé d’organiser une barbecue partie chez lui, dans la presqu’île de Guérande, fin juillet.

Merci Xavier !Merci Xavier !
Merci Xavier !

Ce sont donc près de 20 Lotus qui se sont retrouvées un dimanche matin sur le parking d’une zone commerciale de Guérande pour une balade matinale, avec une météo incertaine mais sans pluie pour le départ. En plus des « classiques » Elise et Exige habituelles, il y avait aussi deux Evora et une Exige V6.

Merci Xavier !
Merci Xavier !

Nous avons rejoint rapidement La Baule où notre passage a été fort remarqué.

Petit souci propre à un déplacement en convoi : que le cortège soit fractionné par les aléas de circulation
Petit souci propre à un déplacement en convoi : que le cortège soit fractionné par les aléas de circulation

Petit souci propre à un déplacement en convoi : que le cortège soit fractionné par les aléas de circulation

Puis ce fut Le Pouliguen avant de rejoindre Le Croisic par la route côtière. Nous avons croisé en chemin de nombreux piétons et cyclistes, mais aussi un écossais jouant de la cornemuse !

rencontre inatendue avec un écossais en kilt jouant de la cornemuse !

rencontre inatendue avec un écossais en kilt jouant de la cornemuse !

Après une courte pause sur le port du Croisic, nous avons rebroussé partiellement chemin pour aller sur La Turballe, emprunter la route des marais salands, avant de nous arrêter chez les Josso, ostréiculteurs à Pen-Bé, du côté d’Asserac.

Merci Xavier !Merci Xavier !
Merci Xavier !Merci Xavier !

Au programme, dégustation d’huitres, bien sûr, mais aussi de terrines très appréciés des visiteurs. C’est aussi à ce moment que la pluie s’est invitée à la fête. Elle nous a accompagnés jusqu’à notre arrivée à la maison de Xavier, et s’est malheureusement installée pour le reste de la journée.

Merci Xavier !

Notre hôte avait anticipé le coup et aménagé son grand garage pour accueillir la quarantaine de convives que nous étions. Par contre, les préposés à la cuisson ont dû se contenter d’un abri  de fortune pour assurer le service des grillades. Que leur abnégation soit ici saluée…

Merci Xavier !
Merci Xavier !

A la fin du repas nous avons eu droit à un accompagnement musical à partir de vinyles et d’un électrophone d’époque, rappelant à certains leur jeunesse passée. Encore merci Xavier ainsi qu’à tous ceux qui ont contribué à la réussite de cette journée très conviviale.

Crédit photos : Nicolas

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1 août 2017 2 01 /08 /août /2017 10:14

Non, il ne s'agit pas de la taille de ses T-shirts. Il n'a pas été frappé d'une soudaine boulimie ni pratiqué intensivement le bodybuilding.

En fait il a troqué son Elise pour une Evora S. Depuis quelque temps il cherchait une auto moins "chahutante" que son Elise tout en souhaitant retrouver l'essentiel des qualités qui ont fait la réputation de la marque.

Evidemment beaucoup de paramètres sont quand même radicalement différents.

Pascal est passé du XS au XL

Comparaisons

Si on compare les dimensions, la longueur de l'auto a augmenté de presque 62 cm soit 17 %. En largeur c'est 15 cm de mieux, ce qui n'est pas rien, les voies suivant la même évolution. De même pour l'empattement qui est rallongé de 27,5 cm, gage d'une plus grande stabilité en ligne droite et les grandes courbes, au détriment d'une moins grand agilité dans le sinueux.

Côté motorisation, avec la version S, on rajoute 2 cylindres en V, on double presque la cylindrée, on greffe un compresseur et on est tout près de tripler la puissance avec une cavalerie de 350 chevaux ! Par contre cet embonpoint s'accompagne d'une prise de poids conséquente. Il y a bien sûr tout l'ensemble mécanique-châssis qui a la plus forte incidence.

Pascal est passé du XS au XL

Mais l'auto est aussi incomparablement mieux dotée que l'Elise de base. On trouve commande centralisée des portes, vitres électriques, ABS, ESP (déconnectable), régulateur de vitesse, climatisation, GPS, radio (ça, la plupart des Elise l'ont, bien qu'inaudible), téléphone Bluetooth, caméra de recul, sièges baquets Recaro chauffants, et j'en passe. Si bien que la valeur du poids est doublée.

Il n'empêche que le rapport poids/puissance descend de 6,9 à 4,3 kg/ch. Nul doute que du côté accélérations ça doit pousser autrement.

Il y a inévitablement un point qui fait mal, c'est la puissance fiscale qui grimpe de 7 à 25 CV fiscaux. Sans parler, pour une auto neuve, du malus écologique.

A bord

L'accès reste très Lotus, bien que nettement moins malaisé qu'avec la S1. Par contre on se sent tout de suite beaucoup plus à son aise une fois installé dans les baquets, très confortables. Il n'y a plus de coude à coude avec le passager. La finition de l'habitacle est sans commune mesure avec l'intérieur dépouillé et rudimentaire de l'Elise. On remarque toutefois rapidement un accessoire futile : le rétroviseur intérieur qui ne donne qu'une vue partielle sur le haut moteur. Il y a fort heureusement l'apport appréciable de la caméra de recul et des grands rétroviseurs extérieurs.

Pascal est passé du XS au XL

Pascal m'emmène faire un petit tour pour faire connaissance avec la bête. Le premier constat, réjouissant, concerne le bruit, pardon, le son de l'échappement lorsqu'on choisit le mode sport, qui ouvre non seulement ses valves, mais modifie également d'autres paramètres comme le temps de réponse à l'accélérateur. Mais pour avoir suivi en d'autres occasions Pascal, c'est à l'extérieur que le son rauque du moteur s'apprécie le plus, comme pour la plupart de nos sportives. Nombreux sont les piétons qui se retournent à l'approche de l'auto.

Deuxième constat, attendu : ça pousse très fort, l'Evora S est donnée pour un 0 à 100 km/h en à peine 5 secondes alors que la S1 dépasse la barre des 6 secondes. Et surtout l'accélération est continue, sans donner le moindre signe d'essoufflement jusqu'à des vitesses politiquement incorrectes. Très rares sont les occasions de vérifier si la vitesse maxi est de l'ordre de 275 km/h !

Pascal est passé du XS au XL

On peut par contre penser qu'arrêter une auto de ce poids demande des distances rallongées par rapport à un poids plume. Et bien non, s'il faut un peu plus de 39 mètres pour arrêter une S1 lancée à 100 km/h, l'Evora se contente de moins de 36 mètres ! Soit une longueur et demie d'Elise, quand même. Cette performance est principalement due aux boudins de 235 à l'avant et 275 à l'arrière, montés sur des jantes de 19 et 20 pouces. Ces dernières permettent de loger des disques ventilés percés de 350 et 332 mm avec étriers à 4 pistons.

Pour ce qui concerne le confort, il n'y a pas photo. La suspension est ferme mais l'amortissement progressif associé aux excellents baquets ménage l'équipage.

Pascal est passé du XS au XL

Au volant

Pascal m'a permis d'effectuer un petit galop d'essai aux commandes de l'auto.

Les commandes tombent bien sous la main, mais petite surprise concernant le pédalier, très resserré et décalé vers la droite pour laisser la place à un petit repose-pied. La pédale d'embrayage est très ferme mais l'embrayage en lui-même très progressif. La commande de boite est beaucoup plus précise que sur mon Elise.

Question accélérations, sans cravacher, ça repart à tous les étages et il faut bien garder un œil sur le compteur pour ne pas se laisser emporter.

On retrouve de suite une direction typée Lotus, très précise et réactive. Il faut faire attention au placement de l'auto sur voie étroite. L'avant de l'auto est plus étroit que l'arrière. En fait, si les rétros débordent largement vers l'avant, ils sont presque dans l'alignement des flancs à l'arrière. Et comme les pneus sont à taille basse, les jantes sont en danger si on serre trop le bas-côté. Sans avoir cherché les limites de l'auto on sent que le châssis garantit une tenue de route hors pair, digne de la réputation Lotus. Côté freinage, pas d'inquiétude, ça ralentit très fort et en ligne.

Pascal est passé du XS au XL

Par rapport à l'Elise de base, hyper spartiate et qui téléphone tout de la route, les sensations sont bien sûr filtrées mais absolument pas aseptisées. Nous sommes bien au volant d'une sportive extrêmement efficace.

Alors, l'Evora une super Elise ? Certainement pas, ce serait plutôt un rôle dévolu à l'Exige V6.

L'Evora est par contre une vraie GT offrant un excellent compromis entre sportivité et confort. De plus la version 2 places de Pascal offre derrière les sièges un espace de rangement complémentaire au coffre situé derrière le moteur. Il est possible de partir en vacances sans trop se soucier du volume de bagages à emmener.

Pascal est passé du XS au XL

L'Evora est moins radicale que sa petite sœur mais aussi plus polyvalente. J'y penserai peut-être pour mes vieux jours.

Pascal est passé du XS au XL

Merci Pascal pour la confiance témoignée.

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29 juillet 2017 6 29 /07 /juillet /2017 18:01

D'année en année, le carrousel de Lohéac organisé par Igor et son équipe connait un succès grandissant.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès

Comme à l'habitude, la part belle est réservée aux américaines et tout particulièrement aux Corvette de toutes générations.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès
Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès
Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès

Mais cette année, une véritable armada de Mustang "new-look" a débarqué pour compléter un impressionnant plateau de V8 à l'américaine. S'y ajoutait une belle Camaro, également.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès
Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès
Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès

Comme on n'est pas sectaire dans le club, tout autre type de véhicule est le bienvenu pour étoffer le nombre de participants.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succèsLe carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès

Et bien entendu, on y rencontrait encore cette fois plusieurs Lotus de la famille des Elise et Exige auxquelles s'est jointe une Vauxhall VX220, autrement dit une Opel Speedster.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succèsLe carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès
Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succèsLe carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès

Il y avait donc beaucoup de monde dans le paddock au matin de ce lundi de Pentecôte. Mais foule ne veux pas dire bord… Comme à l'accoutumée, les consignes passées lors du briefing et appliquées avec bonhommie mais rigueur ont permis à tous de passer une journée dans la bonne humeur et sans incident.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès

Parmi les participants, des habitués rompus à cette pratique, et des nouveaux, venus pour découvrir cette activité de plus en plus prisée. A noter également la présence de plus en plus fréquente du stand MG Sport, garage basé à Lohéac, et qui assure l'entretien et la mise au point de tout type de voiture, mais aussi un suivi et une assistance sur piste aux clients qui le souhaitent.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès

Cette année, comme l'année dernière, j'ai eu l'opportunité de monter à bord de l'Exige de mon ami Gérard. L'auto est rapide et efficace certes, mais son pilote la connait de mieux en mieux, de même que la piste de Lohéac et certaines de ses subtilités. Et c'est donc à une véritable leçon de pilotage à laquelle j'ai assisté.

L'élève et le coach

L'élève et le coach

Trajectoires au cordeau, freinages super tardifs (c'est un euphémisme…), Gérard sait tirer le maximum de son auto. Il estime pourtant qu'il serait possible d'en améliorer les performances en optimisant les trains roulants. Mais déjà dans cette configuration, ça va très vite. Merci Gérard.

J'ai doublé Gérard, j'ai doublé Gérard ! Sauf que ce n'est pas lui au volant. Je me disais aussi...

J'ai doublé Gérard, j'ai doublé Gérard ! Sauf que ce n'est pas lui au volant. Je me disais aussi...

En marge de cette journée, nous avons droit à quelques tours de piste effectués par "Knapick", au volant de sa DS3 du championnat du monde de Rallycross, en cours de mise au point. Ce fut un intermède impressionnant, pour le moins, notamment au démarrage.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès

Une fois de plus nous avons pu passer une excellente journée avec nos jouets préférés.

Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succèsLe carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès
Le carrousel  d'ASPYC 56 a une nouvelle fois connu un franc succès
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13 juin 2017 2 13 /06 /juin /2017 18:18

Passion Auto Prestige et Ancienne d'Ille & Vilaine est avant tout connue pour ses rassemblements mensuels aux étangs d'Apigné, dont le succès ne se dément pas.

L'association organise bien d'autres évènements dont les principaux sont la Traversée de Rennes, le Rallye annuel du lundi de Pâques, les rencontres Mécaniques de Beignon ou encore le Téléthon, pour ne citer qu'eux.

1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 351ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35

Des adhérents du club ont exprimé le souhait de pouvoir bénéficier de l'organisation d'une journée de roulage, soit pour découvrir cette activité nouvelle pour eux, soit pour avoir une occasion supplémentaire de tourner sur piste pour ceux qui en ont déjà l'expérience.

1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35
1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35

La piste asphalte du Manoir de l'automobile de Lohéac a alors été réservée en fin d'année dernière pour la seule date encore disponible, le vendredi 26 mai.

Malheureusement, cette journée tombait pendant le long week-end de l'Ascension, ce qui a limité le nombre de participants disponibles.

1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 351ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35

Ce ne sont donc que 25 véhicules qui ont répondu présent le jour J. Tant mieux pour ceux-ci car c'était aussi la garantie d'un accès facile à la piste.

Après l'accueil avec un café-croissant et les dernières formalités à remplir, tous les pilotes ont assisté à l'incontournable briefing avec le rappel des consignes de sécurité et procédures inhérentes à cette pratique. La température ambiante est rapidement montée sous un soleil radieux et il a fait rapidement très chaud sous le casque et sur le bitume.

1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35

Après quelques tours de reconnaissance du circuit dédiés aux débutants, chacun a pu rouler à sa guise et à son rythme tout au long de la journée.

1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 351ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35

La palette de véhicule était très variée avec des caractéristiques très différentes. Leur millésime allait de 1936 à 2016 et leur puissance de 60 à 550 chevaux, mais la cohabitation, sportive et pacifique, n'a posé aucun souci.

1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 351ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35

Nous étions 4 Elise inscrites mais une cinquième nous a fait la surprise de se joindre au groupe. Laurence, ancienne secrétaire du club, venait juste de faire l'acquisition d'une très belle S1 bleu foncé métallisé et était impatiente de nous la présenter.

1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35

C'était la première fois que je tournais par une telle chaleur et la voiture s'est une fois de plus remarquablement comportée. Seule la température de surface et la pression des pneus étaient à surveiller, tout en restant dans des limites raisonnables.

1ère journée de roulage sur circuit pour PAPA 35

Si la demande se confirme, PAPA 35 envisage de renouveler l'expérience

Crédit photo : Jean-Pierre Perrault

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12 juin 2017 1 12 /06 /juin /2017 19:28

La grande balade annuelle des "Frèros" devient une habitude avec cette 3ème édition. Et elle est fréquentée par des… habitués !

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

Pour fidéliser la "clientèle" la recette est simple à exposer, nettement moins à mettre en pratique. De nombreux lotussiens sont à l'affut d'occasions de sortie de leur auto à la découverte de lieux touristiques par de petites routes sinueuses et c'est ce que les frangins proposent. Mais, pour ce faire, ils reconnaissent plusieurs mois à l'avance l'itinéraire et les sites à visiter avec le souci de la nouveauté. De plus, pour un week-end complet, il est nécessaire de trouver la restauration et l'hébergement à prix raisonnable tout en étant de qualité. Nos amis ont aussi un talent de conviction certain pour obtenir à chaque sortie, de la part de propriétaires de grands domaines, l'autorisation d'y pénétrer avec nos autos. Enfin, il faut imaginer des activités annexes créant une synergie et un esprit de groupe. Pas simple et c'est pourtant ce que réussissent les deux frangins. Pas étonnant que tout le monde en redemande et on arrive au stade délicat où il faut contenir un nombre optimal de participants.

Cette année, les 27 et 28 mai, nous sommes allés à la découverte de la Côte de granit rose dans le pays du Trégor des Côtes d'Armor.

Comme le rendez-vous du samedi était très matinal, certains d'entre nous sont partis la veille pour éviter une trop longue journée de roulage le samedi. C'est le camping des Hauts de Port Blanc, à Penvénan qui nous a accueillis pour le week-end.

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !
La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

L'ensemble des participants, soit 19 autos, s'est donc retrouvé le samedi matin autour d'un petit déjeuner et de viennoiseries offertes par la direction du Super U de Tréguier, avant la remise des road-books de la matinée. Cette année, la gamme Lotus s'est étoffée. Outre les classiques Elise et Exige 4 cylindres, il y avait aussi une très belle Exige V6 et deux Evora. La grande surprise venait de la présence d'une étonnante et unique "Lotus-Streetka", dont le jeune propriétaire affiche sa passion pour notre marque préférée.

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

Nous avons été répartis en 3 groupes pour nous lancer dans la résolution des énigmes concoctées par Pascal et Valéry.

Parmi les différentes épreuves imaginées par nos compères, nous avons eu un parcours de régularité à réaliser, sans connaître la moyenne à respecter ! Il suffisait d'après les organisateurs de respecter le code de la route. La route empruntée a fait causer car sinueuse certes, mais aussi très poussiéreuse (pas bon de rouler en spider…) et son étroitesse était renforcée par les herbes folles qui débordaient généreusement des bas-côtés. Nous avons eu à nous pencher sur la culture du lin, depuis longtemps très répandue dans la région. Nous avons eu bien d'autres énigmes à résoudre nous conduisant à rayonner tout autour de Tréguier jusqu'à la côte. Et l'esprit facétieux des "Frèros" s'est notamment exprimé à travers une question qui… n'avait pas de réponse !

La vue est superbe mais ce n'est pas le bon endroit ! quand on l'a trouvé, on n'est pas plus avancé !!!La vue est superbe mais ce n'est pas le bon endroit ! quand on l'a trouvé, on n'est pas plus avancé !!!

La vue est superbe mais ce n'est pas le bon endroit ! quand on l'a trouvé, on n'est pas plus avancé !!!

Quelques-uns d'entre nous en ont été perturbés. Un exercice non prévu a démontré qu'il était possible de déplacer le train avant d'une Elise sans toucher à la fragile carrosserie !

regroupement et discussions avant de se rendre à Tréguier pour le déjeuner
regroupement et discussions avant de se rendre à Tréguier pour le déjeuner

regroupement et discussions avant de se rendre à Tréguier pour le déjeuner

Il fut un temps où le préparateur Rinspeed avait conçu la sQuba, Elise amphibie et même sous-marine

Il fut un temps où le préparateur Rinspeed avait conçu la sQuba, Elise amphibie et même sous-marine

Après un excellent déjeuner à Tréguier, l'après-midi a été consacré à une balade en passant d'abord dans les terres, par La Roche-Derrien, Lanmérin, Lannion, pour nous arrêter dans le parc du château de Kerduel, près de Pleumeur-Bodou. Sa construction a débuté au XIIème siècle et s'est poursuivi au XIVème pour s'achever fin XIXème, ce qui donne un mélange de styles architecturaux.

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !
La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

L'arrêt a été prolongé par suite de la démission définitive de la batterie d'une des autos. Le temps consacré au dépannage a obligé à modifier la suite du parcours.

Malade de la batterie cette Elise a d'abord été mise en quarantaine, des fois qu'elle serait contagieuse...

Malade de la batterie cette Elise a d'abord été mise en quarantaine, des fois qu'elle serait contagieuse...

Une fois la panne identifiée, les "docteurs" se sont affairés autour de l'engin

Une fois la panne identifiée, les "docteurs" se sont affairés autour de l'engin

Nous avons rejoint la côte à partir de Perros-Guirec et longé celle-ci jusqu'à notre retour au camping en soirée.

C'est fou ce qu'un capot ouvert peut susciter de discussions !C'est fou ce qu'un capot ouvert peut susciter de discussions !
C'est fou ce qu'un capot ouvert peut susciter de discussions !

C'est fou ce qu'un capot ouvert peut susciter de discussions !

Après que tout le monde ait pris possession de son hébergement, une petite cérémonie de remise du trophée à l'équipe gagnante des "épreuves" du matin a précédé le repas préparé sur place. Cette facilité est toujours appréciée des participants qui n'ont pas à ressortir leur voiture en soirée.

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

Au réveil du lendemain matin, le temps très menaçant n'annonçait rien de bon. Et c'est sous les trombes d'eau que nous avons entamé notre périple du dimanche. Après une halte pause-café du côté de Pontrieux, nous sommes repartis sous un ciel un peu plus clément.

Circulez ! Y a rien à voir !!!

Circulez ! Y a rien à voir !!!

C'est connu, les Elise ne sont jamais complètement étanches mais les éclaircies sont de retour

C'est connu, les Elise ne sont jamais complètement étanches mais les éclaircies sont de retour

D'autres petites routes nous ont menés jusqu'à Plélo où nous avons déjeuné dans une ferme auberge.

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !
La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !
La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

Le reste de l'après-midi nous a conduit jusqu'au lieu du désormais traditionnel "tea-time". En plein cœur de Quintin, jouxtant la basilique, nous sommes arrivés dans le parc du château où nous étions attendus par les propriétaires. C'est toujours impressionnant de voir nos Lotus aux multiples couleurs se garer le long d'une imposante demeure au long passé prestigieux.

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !
La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !
La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

En fait le parc comprend deux châteaux. Le premier, du XVIIème est en cours de restauration, le second, le plus grand et en partie visitable date du XVIIIème et a été édifié à partir des anciennes écuries. Nous avons pu bénéficier de la visite guidée des appartements meublés ainsi que de l'exposition sur les arts de la table.

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

Cerise sur le gâteau, notre ami Christophe, expert es-drone, avait amené un petit appareil de dernière génération doté d'une caméra 4K qui a survolé l'ensemble du site pendant quelques minutes. Il en a tiré une vidéo très fluide avec une très belle définition (voir le lien en fin d'article)

Après une généreuse collation, il était temps pour tous de se séparer en se disant "à l'année prochaine".

Les "Frèros" remercient de tout cœur les partenaires qui ont contribué à la réussite de cette journée. Quant à nous les bénéficiaires, la meilleure façon de les remercier est d'être présents pour la balade des "frèros IV", déjà !

La balade des "Frèros III". On prend les mêmes (ou presque) et on recommence !

Crédit photos : JP et Nicolas

La vidéo de Christophe : https://www.youtube.com/watch?v=saYyApz83M8

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5 mai 2017 5 05 /05 /mai /2017 16:21

On m'avait vanté l'intérêt du circuit de Fay mais l'occasion ne s'est jusque-là pas présentée pour me rendre sur place. Ce que j'en savais par les "on-dit", c'était un circuit rapide et assez technique sur lequel les adeptes de conduite sportive y prenaient du plaisir. J'avais aussi entendu parler d'une longue ligne droite au bout de laquelle il ne valait mieux pas se louper. De quoi aiguiser de la curiosité mêlée d'un peu d'appréhension.

Comme l'AG du Club Lotus France dont je suis membre se déroulait cette année à Saint Malo, je m'y suis rendu et j'y ai bien sûr rencontré plusieurs connaissances qui se rendent régulièrement aussi aux rendez-vous des étangs d'Apigné.

Parmi eux, Yves, possesseur d'une S1 Sport 160 présentée sur le blog il y a 2 ans. Il m'a indiqué qu'il s'était inscrit à la journée de roulage organisée par le CLF sur le circuit de Fay à la mi-avril. Comme il pensait s'y rendre seul, il m'a proposé de l'accompagner. J'ai de suite accepté car c'était l'occasion de découvrir le circuit "de l'intérieur". Il a même ajouté qu'il m'en passerait le volant, proposition éminemment intéressante mais éventuellement lourde de responsabilité.

Découverte du circuit de Fay de Bretagne

Nous nous sommes donc donnés rendez-vous le jour J de bon matin pour nous rendre sur le circuit. Il se situe au lieu-dit Les Noxitoches, entre Fay de Bretagne et Le Temple à une bonne vingtaine de kilomètres au NO de Nantes. Rappelons qu'il a été réalisé par la Manufacture de Voitures de Sport (MVS) qui construisait les fameuses Venturi à Couëron, non loin de là. Le circuit leur servait de piste d'essai et de démonstration, si bien qu'il présente sur 3300 mètres un profil très varié, avec une longue ligne droite de 900 mètres pour les accélérations, mais aussi des virages aux rayons très variables du rapide au lent, des enchaînements et même des virages qui se referment progressivement. Certains points de corde ne sont pas évidents à trouver rapidement.

Lors du dépôt de bilan de l'entreprise au début 2000, le circuit a été repris par le Conseil Général de Loire Atlantique qui l'a dédié principalement à la sécurité routière.

de beaux spécimens dont une partie arrive sur plateaux remorques

de beaux spécimens dont une partie arrive sur plateaux remorques

Nous avons été accueillis par Fabien, le maître d'œuvre de la journée, rompu à ce genre d'organisation, et ayant une bonne connaissance du circuit, en plus d'un bon coup de volant. Avant tout début de séance, il y a l'incontournable briefing, qui rappelle à chacun les règles du jeu à respecter scrupuleusement. On est là pour s'amuser, pas pour concourir et encore moins pour casser du matériel. Une mesure parmi d'autres pour assurer la sécurité maximale : pas plus de 8 autos en simultané sur la piste. Comme nous étions 25 et pas pilotes d'endurance, il était quand même possible de tourner (presque) à sa guise.

Notre monture pour la journée : une Elise sport 160

Notre monture pour la journée : une Elise sport 160

J'ai donc fait les premiers tours de circuit en passager de l'Elise qui développe autour de 160 chevaux et est actuellement chaussée en Yokohama AD08. Ce sont des pneus au profil routier, mais avec une gomme suffisamment tendre pour s'adapter au circuit sans trop solliciter les articulations des suspensions. L'échappement, assez libre et avec une sonorité qui suscite les compliments des amateurs, associé à une boite à air efficace, permet d'emmener le moteur assez haut dans les tours alors que sa souplesse n'est par contre pas son point fort.

Yves part en solo pour une session

Yves part en solo pour une session

Il était encore tôt le matin et l'absence de soleil laissait une piste très fraîche ce qui ne facilitait pas la montée en température des pneus. Ça glissait beaucoup, il fallait aussi se remettre dans le coup, et les trajectoires étaient plutôt brouillonnes. Mon tour de prendre le volant pour la première fois est arrivé, et je n'étais pas plus efficace d'autant qu'il n'est pas évident de mémoriser dans le bon ordre la douzaine de virages du circuit. Comme l'auto ne m'appartenait pas, je me suis efforcé d'adopter le même style de conduite qu'avec ma 120 chevaux, en ne poussant pas les régimes et en prenant certains des virages en 4ème à régime moyen plutôt qu'en 3ème à haut régime ce qui fonctionnait assez bien. Mais la Sport 160 a les chevaux en haut des tours et le passage de la 5ème dans la longue ligne droite cassait complètement l'élan.

Découverte du circuit de Fay de Bretagne

De plus, si l'attention était concentrée sur le pilotage, il ne fallait pas oublier de surveiller les rétros car de temps en temps, quelques bolides ne jouant pas dans la même catégorie nous rattrapaient avec un écart de vitesse conséquent.

Découverte du circuit de Fay de Bretagne
Découverte du circuit de Fay de Bretagne

J'ai eu l'occasion après deux sessions de monter à bord de l'Elise de Fabien pour une séance de coaching et voir les trajectoires qu'il prenait. L'auto est rapide et le pilote aussi. J'ai pu apprécier sa maîtrise de l'auto et constater aussi deux points singuliers.

Fabien, maître d'œuvre de cette journée, dans son élément

Fabien, maître d'œuvre de cette journée, dans son élément

Après la petite ligne droite des stands qui a une pente descendante à mi-parcours, la trajectoire d'attaque du fort freinage qui précède un gauche qui se referme se fait au milieu de la piste, et non sur son bord droit. Fabien n'a pas pu m'en expliquer la raison, me disant que ça passait bien comme cela. Et j'ai pu constater qu'en attaquant le freinage d'une façon plus académique on avait tendance à bloquer les roues. Peut-être aussi parce cette partie de la piste reste salie par les bouts de gomme laissés par la trajectoire moins orthodoxe. L'autre constat concerne le double virage en bout de ligne droite où l'on arrive, pour ce qui me concerne, à environ 180 km/h. La tendance naturelle du néophyte est d'enrouler en prenant le premier point de corde assez tard pour fondre les deux virages en un seul, d'autant que le deuxième se referme. Fabien m'a démontré qu'en fait on pouvait beaucoup moins ralentir à l'attaque du premier virage en le considérant isolement. Il reste même une petite portion de bout droit avant de prendre les freins pour le second.

Découverte du circuit de Fay de Bretagne
Découverte du circuit de Fay de Bretagne

Forts de ces conseils, avec une piste moins froide en après-midi, aussi bien Yves que moi avons senti une très nette amélioration du comportement de l'auto et de bien meilleures sensations pour un pilotage plus propre.

Enfin, comme il est conseillé de boucler un tour au ralenti avant de rentrer au paddock, si on ne veut pas gêner les autres en cours de session, on circule alors hors trajectoire et on ramasse tous les bouts de gommes rejetés sur les côtés. A l'arrêt on constate un "rechapage" gratuit des pneus avec des cordons très adhérents qui ont commencé à fusionner avec le pneu. Le seul moyen de les enlever est de repartir sur la piste pour "limer" le pneu à chaud en ayant conscience que la tenue de route est dégradée par ces sculptures rapportées. On sait si tout a été éliminé, ou presque, quand on n'entend plus les morceaux de gomme éjectés taper dans les passages de roues !

Ce fut l'occasion pour Yves de monter dans un superbe roadster Exige V6
Ce fut l'occasion pour Yves de monter dans un superbe roadster Exige V6

Ce fut l'occasion pour Yves de monter dans un superbe roadster Exige V6

En conclusion de ce qui fut une excellente journée avec des compagnons de piste cordiaux, tolérants et respectueux, je reviendrai sur les qualités de cette piste attachante. Elle assez longue pour présenter de nombreuses variations de virages. Elle est d'une largeur suffisante pour assurer des dépassements sans difficultés. On bénéficie d'une bonne visibilité sur la quasi-totalité du parcours et elle s'avère très sécurisante.

Découverte du circuit de Fay de Bretagne

Les seuls points plutôt négatifs c'est qu'elle est (presque) au milieu de nulle part. Et je pense qu'avec mes petits 120 chevaux, la grande ligne droite risque d'être très, très longue. Mais ça vaut le coup d'essayer.

Il va sans dire que je n'aurais vécu cette belle journée sans l'offre généreuse d'Yves et la confiance qu'il m'a témoignée. Qu'il en soit chaleureusement remercié, tout comme Fabien, l'organisateur.

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23 avril 2017 7 23 /04 /avril /2017 18:34

Pascal aime organiser des sorties pour légères. Et de nombreux possesseurs de celles-ci apprécient ses sorties.

Le printemps est un excellent prétexte pour proposer une balade à nos petits bolides. Si l'hiver n'a pas empêché quelques mini balades à l'occasion d'évènements tels que le Téléthon, Rétro-Noël, la Traversée de Rennes ou encore l'AG de PAPA 35, rien de tel pour se dégourdir les roues qu'une vraie sortie à la journée.

C'est ainsi qu'une petite douzaine de Lotus se sont retrouvées, le deuxième samedi d'avril à la cafétéria du SUPER U de Tinténiac. L'encas qui nous a été servi était le bienvenu, surtout pour ceux venus du Sud de la Bretagne … historique, et partis tôt. A l'évidence tous les participants se connaissaient déjà. Avec Pascal, pas besoin de carte pour être fidélisé à ses rendez-vous. Une fois qu'on y a goûté …

Après avoir reçu son road-book, chaque participant s'est lancé sur les routes sinueuses de l'arrière-pays.

Un "décrassage" très printanierUn "décrassage" très printanier

Une première étape nous a fait passer par Bécherel pour remonter ensuite sur Dinan avant de faire halte entre Pleudihen et Miniac-Morvan. Le premier rendez-vous se situait très précisément au lieu-dit La Ville Hervy, où la famille Prié nous attendait pour une visite de son Musée du Cidre. Tout ce que nous avons voulu savoir sur le cidre, les pommes, le savoir-faire ancestral dans son élaboration, les tonneaux cerclés en châtaignier, et l'exploitation du domaine nous a été présenté par une charmante guide. Nous avons bien sûr eu l'occasion de gouter à la production maison.

Un "décrassage" très printanier

Au sortir du Musée nous étions très proches de notre lieu de restauration mais il restait suffisamment de temps pour faire un petit tour, avant de nous arrêter au Bistrot de La Cale de Mordreuc. Profitant du très beau temps nous avons pris un apéritif dinatoire en terrasse avant de continuer le repas en salle.

Un "décrassage" très printanierUn "décrassage" très printanier
Un "décrassage" très printanier

Le chemin du retour a bien entendu emprunté le chemin des écoliers si bien qu'à St Pierre de Plesguen nous avons bifurqué sur Lanhélin avant de "plonger" sur Meillac, Québriac. Nous avons dépassé Tinténiac pour poursuivre jusqu'au lieu du "Tea Time" cher à Pascal.

Un "décrassage" très printanier

Le château de Montmuran était le terme de notre balade. La châtelaine nous a très aimablement accueillis pour nous raconter l'histoire de ce château féodal qui débute au XIIe siècle et qui a vu Bertrand du Guesclin fait chevalier à la suite d'un valeureux fait d'armes.

Un "décrassage" très printanier

La propriété a bien évidemment évolué au fil des siècles mais elle appartient à la même famille depuis plus d'un siècle. Celle-ci affiche la volonté de poursuivre la pérennisation de ce lieu étroitement associé à l'histoire de France.

Un "décrassage" très printanier

Nous avons eu droit à une démonstration du fonctionnement du pont-levis et de son système à contrepoids ainsi qu'une description des différents moyens de défense mis en œuvre au moyen-âge. Ensuite, les plus courageux ont pu monter en haut des tours avant de visiter la chapelle aux vitraux remarquables.

Un "décrassage" très printanier

Et dans une dépendance du château, à la toiture récemment rénovée, nous avons conclu la journée autour d'une collation, le fameux "tea time" char à Pascal.

Un "décrassage" très printanier

Tous les participants sont repartis avec en tête la grande sortie annuelle des "fréros" qui se déroulera fin mai. Tout le monde s'y retrouvera avec le renfort habituel des fidèles à ce rassemblement.

Un "décrassage" très printanier

Crédit photos : Noémie et JP

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24 janvier 2017 2 24 /01 /janvier /2017 11:22

Certains modèles d'Elise sont dotés de phares additionnels à longue portée.

Un gadget  plus qu'utile

L'éclairage de base de l'Elise est plutôt moyen et la position du conducteur au ras du sol n'arrange rien. Ladite position accentue d'ailleurs l'éblouissement par les véhicules arrivant en face. L'appoint de phares longue portée est donc parfois appréciable. Mais ceux-ci sont intégrés dans la calandre en position très basse. Ils sont donc aux premières loges pour ramasser toutes les projections de gravillons. Il n'est donc pas rare que le verre du phare soit fêlé. C'est ce qu'il m'est arrivé il y a déjà quelque temps.

Un gadget  plus qu'utile

Après remplacement, j'ai décidé de protéger ces projecteurs par un cache plastique translucide qui s'emboite sur le phare sans être à son contact direct. Bien m'en a pris car j'ai récemment constaté qu'un de ces caches était à son tour fendu mais le verre du phare intact.

Un gadget  plus qu'utile

Or une paire de caches coûte 19 euros alors qu'un seul phare de S1 se vend 75 euros. L'achat de ce qui peut paraître un gadget est donc facilement amorti !

Un gadget  plus qu'utile

J'ai trouvé cet accessoire chez LIR-Racing, qui propose bien d'autres équipements pour Lotus et sportives "light". De plus le service est aimable et efficace. Attention ! Sur la page Internet de leur site, il vous est proposé par défaut des protections pour S2 qui ne sont pas interchangeables avec ceux de S1. Il faut donc aller sélectionner le bon modèle dans la fenêtre situé à droite de l'encadré.

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9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 14:50

Ou plutôt les deux car il équipe désormais mon Elise.

J'ai mis la main sur un volant Lotus Motorsport

L'idée me trottait depuis quelque temps. Le volant d'origine de ma S1 type 49, un Nardi revêtu d'alcantara rouge et noir, commençait à boulocher mais aussi à s'encrasser sérieusement.

D'où l'idée de le remplacer, et tant qu'à faire, par un volant extractible, si possible en cuir, et impérativement à jante rouge pour rester dans l'accord des couleurs intérieures de l'auto. Seul le coût global me retenait de passer à l'acte.

J'ai mis la main sur un volant Lotus Motorsport

Et puis une réflexion anodine qui entraîne une réaction inattendue. Et voilà, l'objet du désir sous mes yeux. Un authentique Volant Momo, état neuf, fabriqué pour Lotus qui le proposait en option avec un moyeu "Snap Off" à la fin des années 90.

Et puis une difficulté improbable mais réelle. Le moyeu côté volant comporte un système antivol à barillet qui empêche son extraction et donc son vol quand il est verrouillé. Seulement mon vendeur ne trouvait pas la clé !

Le verrou est du type antivol de tête d'attelageLe verrou est du type antivol de tête d'attelage

Le verrou est du type antivol de tête d'attelage

Après des investigations plus poussées, la clé a finalement été retrouvée et la transaction a pu se réaliser. A noter également que cet ensemble permet de conserver la commande d'avertisseur sonore au centre du volant.

les 2 ergots latéraux assurent le verrouillage sur le moyeu
les 2 ergots latéraux assurent le verrouillage sur le moyeu

les 2 ergots latéraux assurent le verrouillage sur le moyeu

Alors, quels sont les avantages du système ? Tout d'abord l'accès à bord et la sortie en sont grandement facilités. Ensuite le fait de pouvoir emmener le volant sous le bras constitue un super antivol. Enfin, beaucoup plus subjectif, ça flatte l'égo de pouvoir épater la galerie en déposant le volant devant les badauds pour s'extraire d'une "vraie" voiture de course.

J'ai mis la main sur un volant Lotus Motorsport

Les changements notables concernent la prise en main, excellente du fait des empreintes pratiquées au niveau des branches, mais avec un grip inférieur à l'alcantara. Avec le temps la patine devrait améliorer ce point. Du fait de l'épaisseur du moyeu en deux parties, le volant Momo, strictement de même diamètre, est légèrement reculé par rapport au Nardi d'origine. Mais les commandes restent néanmoins très accessibles.

les "bouloches" sont toujours là mais les couleurs nettement plus vives qu'avant le nettoyage

les "bouloches" sont toujours là mais les couleurs nettement plus vives qu'avant le nettoyage

Et puis, comme mon volant alcantara était démonté et beaucoup facile à manipuler ainsi, j'ai tenté de le nettoyer par les moyens les plus simples et les moins agressifs possibles. Un gant humide, un peu de savon de Marseille, une brosse douce pour faciliter la pénétration. En travaillant en douceur et sur des petites zones, on arrive à récupérer un assez bel aspect. Si on ne retrouve pas l'état du neuf, l'amélioration est sensible.

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4 janvier 2017 3 04 /01 /janvier /2017 17:18

Le blog est l'occasion de contacts assez fréquents avec des lecteurs à la recherche de l'auto de leurs rêves. Ils sont souvent demandeurs de conseils pour trouver un exemplaire en bon état, connaître les points essentiels à contrôler.

David cherchait une Elise, il a trouvé un Speedster !

David nous avait contactés avant tout pour tenter de réaliser un essai comparatif entre une Elise et un Speedster Opel. Finalement, son choix s'est porté sur le dernier nommé, mais pas n'importe lequel.

David cherchait une Elise, il a trouvé un Speedster !

Il a en effet trouvé un exemplaire de 2002 à l'état neuf de seulement 13.000 km !

Quand on découvre l'auto, très flashy, et son parfait état de conservation, on ne s'étonne pas du faible kilométrage affiché.

David cherchait une Elise, il a trouvé un Speedster !

Rappelons que le Speedster a été fabriqué par Opel de 2001 à 2005 seulement. La version de base, la plus répandue et possédée par David est le 2,2 l atmosphérique de 147 ch pour un poids de 870 kg. 5195 exemplaires en ont été commercialisés. Plus rare a été le 2l turbo de 200 ch pour 930 kg, produit à seulement 1994 exemplaires.

David cherchait une Elise, il a trouvé un Speedster !
David cherchait une Elise, il a trouvé un Speedster !

Si le châssis est étroitement dérivé de celui de l'Elise, il a néanmoins été l'objet de nombreuses adaptations spécifiques notamment au niveau de l'empattement rallongé, des freins assistés avec ABS, de roues de plus grand diamètre, etc…

David cherchait une Elise, il a trouvé un Speedster !
David cherchait une Elise, il a trouvé un Speedster !

Le Speedster a la réputation d'être moins pointu à piloter qu'une S1. Il en a gardé toutefois sa principale qualité : être une voiture plaisir et passion.

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